Travailler sur un écran : guide pratique pour éviter les douleurs
Voilà un thème qui plaira à Sylve, notre IRPP préférée. Le travail sur écran est devenu une réalité pour beaucoup d’employés. Les yeux rivés sur leur ordinateur du matin au soir, la vie de bureau peut laisser des traces. Douleurs au cou, aux épaules, aux bras, astreinte musculo-squelettique, fatigue des yeux… Les dommages collatéraux sont nombreux. Les blogueurs ne sont pas épargnés ! Ce guide pratique propose de nombreuses astuces pour améliorer vos conditions de travail. Postures à adopter, erreurs à éviter, mouvements et exercies pour garder le rythme… Les conseils sont nombreux et pratiques. A consulter absolument avant que les bobos ne vous rattrapent. Le guide pratique du travail sur écran a été édité par l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM).
Via Priscilla, merci pour l’info !
Très utile, merci à tous deux (et à faire lire aussi aux ados sur ordi!)
Va falloir que je jette un coup d’oeil… parce que le dos tout raide, le mal au cou et les yeux fatigués, c’est mon quotidien !
houla va falloir que je modifie pas mal de trucs 😉 merci pour ces infos !
Merci pour l’IPRP préférée ! 😉
Effectivement, pas mal de TMS sont issus d’une mauvaise posture via le travail sur écran, douleurs aux cervicales, lombalgies, choix d’un siège mal adapté, mauvaise orientation de l’écran, sans oublier le travail sur écran en lumière artificielle et j’en passe…
Priscilla et toi feriez de sacrés IPRP !
Bien à vous deux
Sylve
Si vous vous blessez en faisant du sport, la cause de la blessure (choc, coup, chute) a disparu au moment du traitement. Il en est tout autrement des TMS: les causes, fussent-elles d’ordre psychosocial, postural, ergonomique ou autre, sont souvent tenaces, liées au travail, à l’environnement de travail, ou / et au travailleur.
Par conséquent, il ne suffit pas de régler les TMS de façon symptomatique (étirements, massages, immobilisations, voire dans les cas les plus sérieux, opérations chirurgicales), il faut en résoudre les causes.
Pour ce faire, le patient doit se situer au centre du traitement: qui, mieux que lui, connait l’origine de son stress, est capable de surveiller sa posture (pour autant qu’on lui ait appris, et fait sentir, la différence entre une bonne et une mauvaise posture), peut se reposer quand nécessaire, etc?
Ces idées sont développées, et illustrées, sur le site (en anglais) www.ergologic.net. L’idée est que pour réduire l’impact considérable des TMS sur les individus, ainsi que sur les systèmes de sécurité sociale, une nouvelle approche est nécessaire et urgente.