Les avatars attaquent ! #3 Voki

Voici donc le troisième et dernier (mais on n’est jamais à l’abris d’un bonus) épisode de la trilogie consacrée aux avatars. Il est consacré à Voki, site au concept proche de Gizmoz. Vous avez la possibilité de créer votre double virtuel et de lui donner la parole !

Première étape, l’inscription au site. Après avoir confirmé la création de votre compte, vous pourrez vous lancer dans la création de votre Voki.

De nombreux styles de personnages sont proposés. Voici les différentes catégories :

• Classique
• Edgy (énervé)
• Toons
• Animés
• Animaux
• Oddball (excentrique)

Vous pouvez bien sûr choisir votre sexe dans chacune de ses catégories. Ensuite, vous pourrez customiser votre personnage en fonction de vos goûts. Les changements physiques ne sont toutefois pas possibles, en dehors du changement de couleur de vos yeux, de vos cheveux, de votre visage et de votre bouche. Vous devrez choisir un personnage déjà existant parmi les nombreux qui sont proposés. Par contre, tout le reste est personnalisable ! Chapeau, vêtements, accessoires, mais aussi le fond d’écran (vous pouvez dans ce cas importer une photo ou une image) et le lecteur.

Une fois votre personnage personnalisé comme vous le souhaitez, vous pourrez alors vous occuper du texte. Vous pouvez l’enregistrer par téléphone, avec un micro, ou en tapant votre texte en ligne. Cette dernière solution est beaucoup plus complète que sur Gizmoz. On peut choisir l’accent (français, anglais, allemand…) et plusieurs voix sont proposées. Excellent !

Le tour est joué, votre avatar est désormais créé. C’est simple, rapide, et le résultat est sympa. La voix est beaucoup mieux rendue que sur Gizmoz.

Mais quel intérêt pour un blog ? Il faut voir à l’usage, cela peut être pratique de laisser des messages à ses visiteurs. Ce n’est pas indispensable, mais cela change des schémas classiques de mise en contact avec les internautes. Comme de nombreux autres widgets, on verra avec le temps si ce genre d’avatars s’avère utile ou s’ils tomberont dans l’oubli…