Développeur web : un métier ouvert à tous les profils, même ceux en reconversion

Changer de voie professionnelle pour devenir développeur web

Alors que la profession de développeur web fait partie des métiers les plus recherchés actuellement par les entreprises pour accompagner leurs projets digitaux, nous avons voulu en savoir plus sur les raisons qui ont poussé deux apprenants, Sébastien (30 ans) et Léa (27 ans), à passer de la mécanique ou du commerce vers le développement web, après avoir suivi la formation proposée par l’école O’clock.

D’un blog de voyage à une reconversion comme développeuse web

Après une première expérience dans la vente et l’accueil client avec des horaires décalés et un rythme de travail qui incluait les week-ends et les jours fériés, Léa s’est rendu compte que son travail ne répondait plus à ses attentes, et surtout, qu’il ne lui permettait pas d’exprimer son potentiel créatif. Si le développement web n’a jamais été une évidence pour elle, c’est lors d’un road trip de 4 mois en Asie que son envie et son besoin de changement dans sa vie professionnelle ont été confortés, et que son projet a commencé à s’affiner.

Je souhaitais créer un blog de voyage pour raconter mon expérience. J’avais des idées bien arrêtées sur ce que je voulais faire mais j’ai eu du mal avec WordPress. Après avoir échangé avec mon meilleur ami, qui est développeur web, il m’a conseillé de monter mon propre site de A à Z. J’ai étudié le sujet et c’est là que j’ai compris que cela m’intéressait vraiment. J’ai débuté avec les fondamentaux du HTML et CSS, cela m’a beaucoup plu. De fil en aiguille, cela m’a donné l’envie d’envisager sérieusement une reconversion en tant que développeuse web.

Pour des profils comme celui de Léa, les avantages de ce métier, qui est particulièrement recherché par les recruteurs, sont nombreux. Il offre en effet de belles opportunités sur le marché de l’emploi, avec des salaires attractifs et des perspectives de carrière à la clé. « Je voulais aussi pouvoir utiliser mon potentiel créatif à meilleur escient et voir concrètement le résultat de ce que je pouvais créer », ajoute-t-elle.

Du milieu automobile à sa passion initiale pour le développement web

Passionné par la mécanique et l’informatique, Sébastien a d’abord vécu une première expérience en tant que technicien automobile pendant plus de 15 ans, avant de réaliser que les portes de sa 2e passion ne lui étaient finalement pas fermées, contrairement à ce que l’on avait pu lui faire croire lorsqu’il était adolescent.

Au moment de choisir mon orientation, je savais ce que j’aimais, mais je n’étais pas sûr du chemin que je souhaitais emprunter. Mon père m’a initié très tôt aux langages de programmation, en particulier sur du Visual Basic. L’informatique m’attire énormément depuis que je suis gamin. Mais on m’a fait comprendre que je devais suivre une formation dans une école d’ingénieurs, ce qui ne me correspondait pas du tout. Je me suis alors tourné vers le milieu de l’automobile. Près de 10 ans après, j’ai discuté avec une personne qui a suivi exactement le même chemin que le mien avant de se reconvertir dans l’informatique. Cela m’a ouvert les yeux, j’ai su que je devais changer de voie.

L’importance de se former pour acquérir les compétences requises et devenir rapidement opérationnel

Alors qu’elle avait commencé à apprendre le JavaScript toute seule, Léa ne souhaitait pas reprendre de longues études, mais elle restait consciente qu’elle devait suivre une formation pour acquérir les compétences qui lui manquaient en vue de réussir sa reconversion. Elle a ainsi choisi la formation dispensée par l’école O’clock pour devenir développeuse web en 6 mois, un cursus ouvert à tous les profils, même aux néophytes.

Le programme proposé par O’clock correspondait parfaitement à mes attentes. J’avais besoin d’une formation en JS et React car l’entreprise que je visais travaille principalement sur ces langages. Et comme l’une des formations inclut le JS avec la possibilité de se spécialiser en React, c’était parfait pour moi ! À l’issue de ma formation, j’étais opérationnelle sur mon nouveau métier, et je me sens de plus en plus à l’aise dans mon nouvel environnement et dans les missions que je réalise, essentiellement sur du JavaScript avec React ou React native.

Pour leur permettre d’acquérir les compétences techniques indispensables pour exercer ce métier, mais aussi les qualités humaines afin de se démarquer des autres candidats, la formation de l’école O’clock s’appuie sur un programme à la fois intensif et complet, avec les fondamentaux du développement (HTML, CSS, PHP, JS), mais aussi des notions plus complexes comme la programmation orientée objet, la gestion du back-office ou encore la technique de programmation ORM (mapping objet-relationnel), avant de se spécialiser soit en React, comme Léa, soit en Symfony (le framework de PHP).

La session se conclut sur un mois dédié à l’élaboration d’un projet pour mettre en pratique les connaissances apprises. L’école accompagne ensuite les apprenants jusqu’au passage du titre professionnel « développeur web et web mobile », qui est reconnu par l’État. Et ils bénéficient d’un coaching aux techniques de recherche d’emploi ainsi que de la mise en relation avec un réseau d’entreprises partenaires.

Avant de vous lancer, il est important de tester en commençant par le code pour voir si cela vous plaît vraiment. Il n’y a pas de prérequis techniques pour démarrer la formation de O’clock, mais c’est mieux si vous avez la possibilité de vous entraîner un peu avant. Je conseille de faire les petits jeux recommandés par l’école pour développer sa logique, poursuit Sébastien.

Des cours en téléprésentiel et un encadrement très apprécié par les apprenants

Si Sébastien connaissait déjà un peu O’clock avant de s’inscrire, l’apprenant a eu l’occasion de suivre des formations dans le milieu automobile via d’autres organismes en ligne. Pour lui, le point fort de l’école est son format en téléprésentiel, avec des cours à suivre via une plateforme de classe virtuelle pour apprendre « comme à la maison ».

Avec O’clock, on ne se sent jamais seul. Les formateurs sont tous très bons, très humains et à notre écoute. On obtient toujours des réponses à nos questions. J’ai aussi beaucoup apprécié le suivi réalisé par l’encadrement de l’école, qui a pu m’aiguiller sur les dispositifs de financement pour ma reconversion. On avait aussi un groupe d’entraide entre nous pendant la formation, et il y avait toujours une oreille pour nous écouter en cas de problème.

Même constat pour Léa, qui a suivi la formation pendant le confinement. Elle souligne, elle aussi, le soutien et l’accompagnement dont elle a pu bénéficier, ainsi que la possibilité d’échanger facilement avec l’équipe pédagogique, ses professeurs et tuteurs, mais aussi avec ses camarades de promo, et ce même à distance. « Tous étaient présents et disponibles à tout moment si j’en avais besoin. Je me suis sentie très bien entourée ! »

Devenir développeur web avec O’clock