Comment réussir ses jeux-concours : les bonnes pratiques de Kimple
Dans son dernier livre blanc, Kimple analyse les facteurs de succès des jeux-concours, en passant au crible les mécaniques qui fonctionnent et les erreurs à ne pas commettre.
Capter l’attention, fidéliser et séduire une audience. Voilà, en substance, quelques-uns des atouts du jeu-concours, « un outil marketing intemporel qui traverse les époques avec une incroyable capacité d’adaptation », souligne Kimple. Mais comment exploiter efficacement ce levier marketing, permettant de générer des leads qualifiés, d’accroître la notoriété d’une marque ou de stimuler les ventes sans mobiliser des ressources considérables ?
Dans ce guide complet, Kimple se penche sur cette question, après avoir passé au crible plus de 1 000 campagnes réalisées sur sa plateforme en 2024. Entre conseils pratiques et données chiffrées, l’entreprise française identifie les « facteurs de succès qui transforment un simple jeu en un véritable atout marketing ».
Quelles sont les mécaniques de jeux-concours les plus efficaces pour les marques ?
« Chaque type de jeu répond à des objectifs précis et s’adapte à des contextes variés », annonce d’emblée Kimple. Dans son livre blanc, la plateforme recense plusieurs mécaniques adaptées aux enjeux de notoriété, de fidélisation ou de stimulation des ventes :
- Les instants gagnants : il s’agit de l’une des mécaniques les plus populaires, selon Kimple. Le concept ? Permettre à l’utilisateur de savoir instantanément s’il a gagné ou non. La promesse d’un résultat rapide, souvent couplée à une dotation attractive, permet ainsi d’attirer un grand nombre de participants. Et, par extension, créer du trafic sur le site web ou en boutique. « Le jeu peut être le début du parcours client, et rediriger le participant vers un site web ou un point de vente par exemple pour récupérer ou utiliser leur gain », précise Kimple.
- Les jeux ludiques : ici, l’objectif est d’inviter les participants à « passer plus de temps avec votre marque » et à l’associer à une expérience positive. Pour cela, Kimple recommande plusieurs formats, tels que des jeux de mémoire, des puzzles ou des jeux d’adresse. Ces expériences, plus marquantes et moins conventionnelles, contribuent à renforcer l’image de marque et facilitent, par ricochet, l’acceptation des formulaires.
- Les quiz : alliant « interactivité et apprentissage », les quiz peuvent porter sur un produit ou une thématique liée à votre marque. Il est également possible de proposer des questions ludiques « qui challengent les participants », complète Kimple. Le quiz permet de piquer la curiosité, de stimuler l’engagement sur les réseaux sociaux ou de mieux connaître vos leads.
- Les jeux avec obligation d’achat : « très efficace pour transformer l’intérêt en action concrète », rappelle Kimple, ces jeux invitent les utilisateurs à saisir un code ou à transmettre un ticket de caisse pour valider leur participation. L’enjeu ? Récompenser les clients fidèles, tout en stimulant directement le volume des ventes en incitant indirectement à l’achat.
Comment réussir ses jeux-concours : durée idéale, nombre de participants, choix du support…
En analysant plus de 1 000 jeux-concours, Kimple a identifié plusieurs facteurs ayant un impact direct sur leur réussite, à la fois en termes de participation ou d’engagement des joueurs. Des enseignements à nuancer, bien sûr, en fonction des objectifs et de la stratégie de chaque marque.
La durée idéale d’un jeu-concours
En moyenne, une opération de gamification dure 46 jours et 70 % des campagnes s’arrêtent avant le premier mois, prévient Kimple. Passé ce cap, le nombre de participants a tendance à décroître. Chaque durée présente toutefois ses avantages et ses limites. Un jeu-concours de courte durée « crée un sentiment d’urgence » mais « peut sembler trop bref pour certains participants », rappelle Kimple. À l’inverse, une campagne de longue durée offre la possibilité de toucher un public plus large, « mais il risque de lasser les participants et nécessite une communication soutenue », peut-on lire. Pour trouver le bon équilibre, Kimple recommande de tester plusieurs durées et d’observer les pratiques des concurrents.
Le nombre de participants
En moyenne, un jeu-concours rassemble plus de 6 000 participants, révèle Kimple. Un chiffre qui peut toutefois varier selon la cible, le budget et la stratégie de promotion. Pour l’entreprise, viser un gain de 5 000 nouveaux abonnés sur un réseau social peut constituer « un objectif réaliste », même si la plateforme rappelle « que la qualité des participants est tout aussi importante que leur nombre ».
La réussite de votre jeu repose moins sur le nombre de participants que sur la proportion que ce nombre représente pour votre opération de façon générale.
Le choix du support
Si 55 % des joueurs participent aux jeux-concours depuis un appareil mobile, souvent via des QR codes, des campagnes emailing ou les réseaux sociaux, Kimple insiste sur l’importance de s’adapter à tous les supports. « L’accessibilité de votre jeu est un enjeu majeur pour garantir sa réussite », rappelle la plateforme dans son livre blanc.
Sur mobile, la plateforme recommande d’offrir « une expérience fluide et intuitive, avec des commandes simplifiées et un affichage optimisé pour les petits écrans ». Sur desktop, au contraire, il est possible d’exploiter l’espace supplémentaire pour proposer « des interfaces plus riches et des fonctionnalités plus avancées ».
Pour en savoir plus sur les périodes propices au lancement d’un jeu concours, les KPI à surveiller, l’impact de la dotation sur la participation ou le détail des résultats en fonction des secteurs d’activité, téléchargez le livre blanc de Kimple en cliquant sur le lien ci-dessous.