Comment attirer et fidéliser les ingénieurs de demain : la méthode d’EY
En organisant l’événement Ingés@EY, le cabinet a réuni une centaine d’étudiants et de jeunes diplômés. L’occasion de faire découvrir la diversité des expertises tech au sein d’EY et les multiples passerelles de carrière offertes aux ingénieurs.
Ingés@EY, un événement placé sous le signe du partage d’expérience
Organisé par le cabinet EY, Ingés@EY a rassemblé une centaine d’étudiants en école d’ingénieurs et des jeunes diplômés le temps d’une après-midi, le jeudi 6 novembre 2025. L’objectif : présenter les activités d’EY et mettre en lumière les nombreuses opportunités qui s’offrent aux jeunes qui rejoignent le cabinet afin de les aider à se projeter dans leur future carrière d’ingénieur. « Nous avons souhaité aller au-delà d’une simple découverte des métiers, en proposant des activités qui permettent de voir concrètement comment se passe une journée type chez EY », explique Stéphane Rebecca, Campus Manager. Au programme : découverte du cabinet, de ses expertises et du quotidien des équipes, mais aussi des ateliers participatifs dédiés au développement durable et aux « soft skills ». La journée s’est conclue par des témoignages inspirants qui ont marqué l’ensemble des participants.
C’est le cas de Sarah Daher, étudiante en 2e année du cycle ingénieur à Télécom Paris, qui a effectué un stage d’un mois chez EY en 2025, dans le cadre du « EY Engineer Summer Camp ».
Elle nous raconte : « J’ai participé à Ingés@EY parce que j’avais envie de retourner chez EY et de revoir les collaborateurs que j’avais pu rencontrer lors de mon stage. L’événement était très bien organisé. Il y avait beaucoup d’ingénieurs, je ne m’attendais pas à en voir autant. Ils nous ont expliqué leurs missions et leurs projets. Ensuite, j’ai participé à plusieurs ateliers, c’était très enrichissant. L’ambiance était très conviviale, toutes les personnes présentes ont pu échanger ensemble ».
L’atelier sur le développement durable a particulièrement plu à l’étudiante :
On devait réfléchir aux risques et à la manière dont les entreprises peuvent s’adapter au changement climatique. On avait plusieurs cartes et chacun devait choisir une action, réfléchir et en discuter. C’était vraiment bien. Je trouve que c’est une bonne idée de la part d’EY de proposer ce genre d’atelier, qui est d’ailleurs obligatoire pour tous les nouveaux arrivants dans l’entreprise, précise-t-elle.
Pour illustrer la réalité du terrain, EY a fait intervenir une troupe de théâtre chargée de rejouer une journée type d’un collaborateur. Une manière ludique et vivante de montrer la diversité des expertises tech du cabinet ainsi que la richesse des parcours possibles. « Par exemple, un ingénieur en BTP qui évolue vers l’audit, puis vers le conseil. Cela reflète bien la mobilité, les formations et l’accompagnement que propose EY », souligne le Campus Manager.
Un exemple concret : formée à l’INSA Lyon, Nihal Filali a rejoint le cabinet il y a plus de 13 ans. Passée par le génie industriel, elle s’est ensuite réorientée vers le secteur de la santé et occupe désormais le poste d’Associée en charge des activités Santé et Life Sciences pour EY Consulting.
Je peux en témoigner personnellement : quand je suis sortie de l’école, je ne m’imaginais pas du tout travailler dans ce secteur. C’est par le biais de missions et de rencontres que je me suis passionnée pour la santé et la pharma. J’ai commencé dans l’industrie, avant de faire de l’audit informatique, puis de la gestion du risque, avant de revenir vers le conseil. J’ai voyagé en Afrique, au Moyen-Orient, puis, il y a environ 7 ou 8 ans, j’ai découvert le secteur de la santé. C’est là que j’ai voulu développer une véritable expertise sectorielle, créer une équipe dédiée et prendre en charge le pilotage du secteur pour EY Consulting.
L’importance des profils ingénieurs pour répondre aux besoins digitaux des clients du cabinet EY
Le parcours inspirant de Nihal reflète la grande diversité des expertises IT proposées aux ingénieurs évoluant chez EY. « Nous restons à l’écoute des collaborateurs, afin qu’ils puissent évoluer selon leurs souhaits de carrière. À travers cet événement, nous voulons aussi prouver à de futurs et jeunes ingénieurs que leur esprit analytique et leur logique ont toute leur place dans nos différents métiers : la data, la finance, la cybersécurité, l’IA et les nouvelles technologies, etc. », précise Stéphane Rebecca. Un constat partagé par Nihal Filali :
Les élèves et jeunes ingénieurs que j’ai pu rencontrer étaient très intéressés par nos métiers et ont été impressionnés par la diversité de nos missions, l’étendue de notre culture et la possibilité d’apprendre en permanence. Ils ont bien compris que travailler chez EY, c’est comme être à l’école après l’école. C’est le message que nous voulions faire passer.
En rejoignant EY en tant qu’ingénieur, un jeune talent peut évoluer dans des domaines variés : consulting, audit des comptes, stratégie, modélisation financière, durabilité. Une diversité de « lignes de service » qui a particulièrement impressionné l’étudiante Sarah Daher, découvrant un environnement à la fois riche, stimulant et inspirant. « Il y a des ingénieurs partout où il peut y avoir des aspects tech, même dans la finance ou les assurances. Ils ont un vrai rôle à jouer, notamment pour analyser, résoudre des problèmes techniques ou concevoir des outils d’IA par exemple. On ne s’ennuie jamais, et l’on peut toujours changer de projet, switcher de ligne de service même. Il y a des passerelles possibles, ce qui permet d’éviter la monotonie dans le travail ».
Conseil, technologie, digital, intelligence artificielle, cloud : ces domaines sont désormais incontournables dans les stratégies menées par les clients d’EY. Face à cette transformation permanente, les profils d’ingénieurs constituent un véritable atout pour comprendre, piloter et faire évoluer les projets. « L’année dernière, il était question d’intelligence artificielle générative. Cette année, tout le monde parle des agents IA. Et demain, ce sera le tour des jumeaux numériques. Nous avons besoin de profils capables de s’adapter à ces évolutions majeures », poursuit Nihal.
Plus largement, notre métier c’est de faire le lien entre les besoins de nos clients et les potentialités offertes par l’évolution technologique. Cela suppose des expertises diverses : stratégie IT, architecture technique, data, IA, agilité, développement web et mobile, design, empreinte carbone liée aux technologies, etc. Les ingénieurs de demain, par leur formation et leur état d’esprit, ont un champ des possibles immense.
Rejoindre EY pour contribuer à la force du collectif et faire vivre un vivier de jeunes talents
Chez EY, aucun parcours n’est prédéfini : chacun peut construire sa trajectoire professionnelle. « Quand vous arrivez, vous êtes affectés à une ligne de service qui correspond à vos compétences de départ. Par la suite, libre à chacun de construire sa carrière en fonction de ce qu’il découvrira au fil de ses missions, de ses rencontres et des sujets auxquels il sera confronté ». Les jeunes ingénieurs qui rejoignent le cabinet apportent une ouverture d’esprit, une curiosité, une créativité et un sens critique très appréciés par les équipes en place. On attend d’eux qu’ils challengent les points de vue, posent des questions, remettent en cause les idées reçues et creusent les sujets techniques.
Ces « soft skills », qui complètent l’expertise scientifique et technique acquise au cours de leur cursus scolaire, permettront aux futurs ingénieurs de devenir de véritables acteurs de la transformation digitale des entreprises. Avec l’essor de l’IA, et plus généralement le développement de plus en plus rapide de nouvelles technologies, EY a de fortes ambitions en recrutement d’ingénieurs afin de répondre aux attentes de ses clients. « Historiquement, nous recrutions environ 15 % d’ingénieurs parmi les profils juniors (stage de césure et de fin d’études, jeunes diplômés…). Dans un environnement technologique de plus en plus complexe et évolutif, qui génère un besoin croissant d’ingénieurs dans tous nos métiers, nous avons pour ambition de recruter 23 % d’ingénieurs cette année. Certaines lignes de service, comme celle pilotée par Nihal, ont même des ambitions plus fortes, autour de 40 % », détaille Stéphane Rebecca.
Dans sa recherche de nouveaux talents, le cabinet, très attaché à la puissance du collectif, accorde une importance particulière aux relations humaines. « Les liens que nous créons au sein de nos équipes et entre équipes sont une vraie force : cela nous permet de construire ensemble des solutions pour nos clients. Les ingénieurs sont des profils excellents pour sublimer toute la force du collectif qui existe chez EY », ajoute Nihal Filali. La personnalité des candidats fait partie de leurs principaux atouts pour faire la différence. « Nous recherchons des personnalités fortes, des esprits agiles, des personnes curieuses et qui aiment le collectif. Chez EY, on ne se sent jamais seul : c’est dans notre ADN ».
En rejoignant les équipes d’EY, les nouvelles recrues font l’expérience d’un véritable esprit de promo. « Il existe une communauté d’ingénieurs au sein d’EY : des tribus qui se rassemblent régulièrement, des Alumni d’écoles d’ingénieurs qui gardent le lien grâce à l’organisation d’événements internes ou des forums. Cela nous permet d’entretenir cet esprit de cohésion et de faire vivre le vivier de jeunes talents du cabinet », confirme Stéphane Rebecca.
Vous hésitez encore ? Nihal Filali conclut ainsi : « Soyez curieux. Venez avec votre singularité, vos idées, votre sens critique. Chez EY, nous nous nourrissons de la diversité des personnes qui nous rejoignent. Vous pourrez coconstruire votre carrière avec nous ».
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